Dengeki Daisy

Dengeki Daisy 1


"Quoi qu'il arrive, je te protégerai.” 

Depuis la mort de son frère, l'unique parent qui lui restait, Teru vit seule, avec pour soutien moral, le téléphone portable que son frère lui a donné et sur lequel elle reçoit les mails d'un personnage mystérieux se faisant appeler “Daisy”. Un jour, pour une raison idiote, elle se retrouve à travailler au service de Kurosaki, le gardien du lycée aux allures de voyou. Mais ce vaurien n'aurait-il pas quelque chose à cacher à Teru ?


Fiche série

Auteur : MOTOMI Kyôsuke

Nombre de tomes : VF : 16 | VO : 16

Editeurs :

  • VF : Kaze Manga
  • VO : Shôgakukan
Prépublication : Betsucomi

Genre

  • Drame
  • Romance

Edition France

Avis

Dengeki Daisy 16

Si vous ne savez pas quoi lire comme shojo en ce moment, je vous recommande chaudement Dengeki Daisy !

La mangaka, qui utilise un pseudonyme masculin (mais qui est bien une femme, elle l’avoue dans un encart sur le côté dans l’un des tomes) réussi à vous tenir en haleine tout le long de la série.

Ce shojo est différent des autres mangas du genre. Bien sûr, il y a de la romance (avec l’histoire d’amour qui se met en place (très) lentement entre Teru et Kurosaki), mais il y a aussi du suspense (le mystère sur Daisy, le héros anonyme et protecteur) et du drame (les personnages ont tous leur faiblesse et leur passé souvent malheureux avec la perte d’un être cher).

L’ensemble de l’histoire est très bien ficelée et se déroule sur fond du piratage informatique. Pourtant, à l’origine, elle devait être très courte (d’où le suspense rapidement levé sur l’identité de Daisy). Mais le lectorat japonais était au rendez-vous et la série a continué pour notre plus grand plaisir !

Les personnages sont très attachants et drôles. Ils ont chacun une personnalité propre que ce soient les personnages principaux ou les secondaires. Les relations entre eux nous captivent et du coup, on souhaite lire la suite le plus rapidement possible.

Les traits des personnages sont soignés, et les pages ne sont pas surchargées. Quand il y a des scènes cocasses avec des quiproquos, les personnages sont en SD, surtout Kurosaki... Certaines scènes sont vraiment très drôles.

Une fois que vous aurez commencé la lecture vous ne pourrez plus arrêter, c’est un shojo 100% addictif !

Rédigé par Sylvie.